-2007 :Croisière « l’Algérie Romaine ».

 

 

En octobre 2007, Claudette et André MESA, Maryvonne CREFF et Bernard PETITJEAN, accompagnés de l’inséparable Robert LESNE, ont participé à la magnifique croisière « l’Algérie Romaine ». Claudette nous raconte.

 

 

 

Voyage en Algérie

Octobre 2007

 

Sous un beau soleil matinal, accoudés au bastingage de l’Adriana, nous regardons se dessiner à l’horizon la côte algérienne. Entre mer et montagne, Bougie (Bejaia) sera la première escale de ce voyage de retour en Algérie marqué par la découverte de la cité romaine de Djemila.

Son état de conservation, la richesse de ses temples, ses thermes, son théâtre (où Robert Lesne, notre accompagnateur, nous donne un premier – et brillant ! – aperçu de ses talents en chantant du Brassens…) et enfin l’arc de triomphe de Caracalla justifient pleinement son nom : en arabe, Djemila veut dire « la belle ». Et de fait, c’est un éblouissement ! Première surprise, son quartier chrétien avec son évêché, ses deux basiliques jumelées et, surtout, son baptistère surmonté d’une coupole encore intacte (les signes de la présence chrétienne en Algérie nous auront toujours fait chaud au cœur).

 

 

Le lendemain, escale à Bône (Annaba) ; visite de Guelma avec son théâtre romain, le plus complet d’Afrique du Nord, où Robert se produit à nouveau !

 

 

Détour ensuite par Hammam Meskoutine (en français : bain ou source pétrifiante) avec ses sources d’eau chaude (90°) jaillissant hors de terre et sa cascade à l’aspect d’une extraordinaire draperie pétrifiée, haute de 20 mètres et large de 40.

 

Visite enfin du site antique d’Hippone avec, en point d’orgue, celle de la basilique de Saint-Augustin ; du haut de la colline où elle est perchée, la vue porte jusqu’à Bône. Quelle émotion de voir des croix se découper sur le ciel bleu d’Algérie, au-dessus du dôme et des deux clochers… Un prêtre maltais nous fait visiter la basilique d’où, la nuit tombant, nous devons repartir vers le port. Disposant d’un peu de temps, les cars nous laissent alors sur la place de Bône, sorte de rambla tout en longueur et bordée d’arcades. Après quelques emplettes, Maryvonne, Bernard, André et moi sommes interpellés par trois ou quatre hommes âgés qui, apprenant notre origine, sont ravis de parler avec nous. Robert arrive à ce moment, manifestement inquiet de nous voir ainsi « encerclés » ! Quelle n’est pas sa surprise de découvrir combien l’amour d’un même pays peut engendrer de sympathie entre des Algériens et nous…

 

 

 

L’escale suivante à Philippeville (Skikda) nous permet de visiter Constantine, avec ses gorges du Rummel et ses ponts d’où la vue est impressionnante.

Devant la poste, les écrivains publics sont assurés de ne jamais manquer d’ouvrage…

 

 

 

 

Le monument aux morts de la guerre de 39-45, dominant la ville, est magnifique ; hélas, il sert aujourd’hui de vespasienne…

 

 

De là, visite des ruines de la ville de Tiddis, d’une admirable couleur ocre ; dans cette ville berbère modifiée par les Romains, un baptistère témoigne là aussi de la période chrétienne. Ce site est particulièrement impressionnant par son isolement et sa situation dominante à flanc de montagne.

 

 

L’étape suivante nous conduit à Alger et ses environs…

Au programme, visite de Cherchell et de Tipasa, site romain classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. Dans ce lieu unique entre tous et célébré par Albert Camus, une stèle à la mémoire de l’écrivain a été élevée. Gravés dans la pierre, ces mots extraits de Noces à Tipasa : « Je comprends ici ce qu’on appelle gloire : le droit d’aimer sans mesure ».

 

 

Un peu plus loin, sous les rayons dorés du soleil couchant, Sainte Salsa est un véritable enchantement avec sa basilique du IVe siècle, ses stèles chrétiennes et ses enclos funéraires perdus parmi les pins et les cyprès.

 

 

Puis nous arrivons au pied du tombeau de la Chrétienne qui, du haut de sa colline, domine la région dans une sorte d’impassibilité millénaire. Mausolée royal imposant (60 m de diamètre et 30 m de hauteur), il date de l’époque mauritanienne.

 

Le jour suivant est consacré à la ville d’Alger. Nous visitons le Bastion 23 (ensemble de palais et de maisons de pêcheurs de la période ottomane) et traversons à pied la Casbah où André retrouve, inchangée, l’école où il fit un stage. Les nombreuses échoppes d’artisans, les fontaines pittoresques et les maisons à l’architecture typique nous incitent constamment à « dégainer » notre appareil photo !

Mais quelques maisons écroulées et transformées en dépôts d’ordures, enlèvent malheureusement à la ville – vue de la mer – la blancheur qui autrefois la caractérisait.

 

   

 

Autre moment émouvant : la visite de Notre-Dame d’Afrique, avec son inscription au-dessus du chœur : « N-D d’Afrique, priez pour nous et pour les musulmans ». Là encore, les prêtres nous réservent un accueil chaleureux et nous parlent de leur vie actuelle. Parmi les plaques commémoratives des Pères Blancs et des moines de Tibérine assassinés, Maryvonne voit avec émotion celle d’un grand ami, le Père Chevillard, camarade de son beau-frère Jean Creff (lui-même Père Blanc).

 

 

Les musulmans viennent visiter la basilique et s’y recueillir. Sur l’esplanade, la statue de Mgr Lavigerie est toujours là.

 

   

 

Le jour suivant, escale tant attendue à Oran. Quelle joie d’apercevoir – même de loin – Notre-Dame de Santa Cruz !

 

 

Deux voitures avec chauffeur nous attendent sur le quai. Maryvonne et moi souhaitions revoir les maisons de nos grands-parents. Elle se rend donc avec Bernard à Beni-Saf, à la plage du Puits où elle a le plaisir de retrouver la maison de ses grands-parents, bien entretenue. Son actuelle occupante, une vieille dame charmante, leur offre thé à la menthe et gâteaux de l’Aïd et, devant l’émotion de Maryvonne, se montre compatissante : « Je suis une grand-mère moi aussi ». Souvenirs partagés…

Pendant ce temps, après une courte visite rue Herzog à Oran, André et moi nous dirigeons vers Lamtar où j’ai le chagrin de voir le cimetière dévasté (« J’ai honte pour mon pays » nous avoue notre chauffeur). Un peu plus tard, un intermède policier – un contrôle d’identité tatillon – prêterait à sourire s’il n’était le reflet d’une situation pour le moins inquiétante…

Ensuite c’est Sidi-Bel-Abbès où, paradoxalement, l’émotion n’est pas au rendez-vous. Certes, le centre ville et ses abords immédiats n’ont pas changé, si ce n’est que la circulation y est devenue difficile. Tous les magasins qui bordaient le boulevard de la République ont été remplacés par une myriade de petites boutiques et de cafés maures.

Les quelques monuments conservés ne sont pas en très bon état (une vitre brisée au théâtre est remplacée par une plaque de contreplaqué…) La ville compte aujourd’hui 500 000 habitants ; elle est de ce fait beaucoup plus vaste qu’autrefois : elle s’étend au nord jusqu’au Rocher, à l’est jusqu’au Camp des Spahis, à l’ouest jusqu’à l’école d’agriculture (devenue Université).

Une rocade interminable, bordée de grands immeubles et de maisons parfois opulentes, la contourne.

Maryvonne a pu revoir son ancien appartement, maintenant gros cabinet médical, et visiter l’appartement de ses grands-parents. « Rien n’a changé » lui annonce l’actuelle propriétaire (83 ans)  qui l’occupe depuis janvier 63 – et en effet cuisine et salle de bains sont celles de 1962…

Peu après, la principale de Fénelon l’accueille chaleureusement et la donne en exemple aux élèves pour son attachement à son ancienne institution.

 

 

Fénelon est à présent un collège de jeunes filles ; l’école Chabrières est devenue secrétariat aux Affaires religieuses ; les Glacis Sud, où nous allions en récréation aux beaux jours, sont transformés en jardin.

D’autres rencontres sympathiques… Pour Maryvonne et Bernard, c’est par exemple le maire adjoint de la ville qui les accoste devant l’ancienne pâtisserie Pagan : « Madame, je vois que vous avez les mêmes souvenirs que moi, vous êtes ici chez vous ». Il les invite à venir le voir à la mairie lors d’une prochaine visite.

 

  

 

Pour nous, c’est la fille d’un ancien collègue d’André, très émue de parler à des Français et d’évoquer avec nostalgie ses souvenirs d’enfance et notamment ses institutrices françaises ; elle a la gentillesse de nous accompagner à mon ancienne maison. C’est aussi une famille de Sidi-Bel-Abbès qui nous invite à déjeuner (quel bonheur de déguster une coupe de grenades préparée par les filles de la maison…) puis nous accompagne au cimetière où seules les sépultures bordant les allées principales ont été préservées ; je retrouve ainsi celle de ma famille. Maryvonne apprendra du gardien que les archives sont consultables à la mairie.

Nous n’aurons pas le temps de revoir tout ce que nous souhaitions, pris en quelque sorte en otages par la gentillesse et l’empressement de nos hôtes.

 

Pendant ce voyage, nous avons parfois eu l’impression de visiter un pays inconnu où la police et la gendarmerie sont omniprésentes : sur les routes, les barrages sont très fréquents (quatre sur les 19 km entre Sidi-Bel-Abbès et Lamtar !) et nos cars ont toujours été escortés de voitures de police qui, sans états d’âme, arrêtaient la circulation pour nous permettre de passer.

Souvent, dans les villes visitées, les immeubles sont défigurés par le linge étendu aux balcons, les installations électriques fantaisistes, les climatiseurs, les paraboles, les grilles transformant en cages les balcons des premiers étages. Beaucoup de maisons écroulées, de murs lézardés. Et pratiquement partout, même dans les hôtels luxueux, des sanitaires innommables… comme pour souligner, par contraste, le charme, le confort et la propreté de l’Adriana !

Par ailleurs, des immeubles immenses paraissent perdus, pour ne pas dire incongrus, au milieu de terrains vagues jonchés d’immondices. La plupart de ces bâtiments sont construits par des Chinois – les Algériens préférant aller en France « toucher le chômage », nous confie notre chauffeur.

Partout, théâtres et cinémas sont fermés. Les rues sont envahies par les hommes et, parmi les quelques femmes aperçues, certaines sont habillées à l’européenne tandis que la plupart portent le foulard – quand elles ne sont pas entièrement vêtues de noir !

Les anciens parlent assez bien le français, les jeunes peu ou pas. Pour leur permettre d’accéder aux études supérieures, le français est enseigné à nouveau depuis deux ans.

L’ouest de l’Algérie nous aura paru moins « abîmé » et un peu plus propre que les autres régions – quoique…

Après avoir massivement industrialisé le pays « à la soviétique » (pour reprendre l’expression de Bernard), une remise en valeur des terres agricoles s’amorce. Des autoroutes traversent le pays, les voies de chemin de fer arrachées sont réinstallées… encore par les Chinois !

Mais partout, beaucoup de gens inoccupés – des « hittites » (ceux qui tiennent les murs), comme leurs compatriotes les surnomment.

Il reste que nous avons toujours été bien accueillis – que ce soit par les guides, compétents ou du moins désireux de donner une bonne image de leur pays, ou par les habitants qui, comme à Bône, se sont montrés heureux de nous rencontrer (« Vous êtes ici chez vous, vous y avez encore plus droit que nous ») – et anxieux de savoir ce que nous pensions de l’évolution de l’Algérie.

Les souvenirs des Français sont encore vivaces chez bien des gens. A Lamtar, on nous montre les maisons des Roche et des Arzelier ; à Sidi-Bel-Abbès, le « château » Delorme...

Enfin, nous avons particulièrement apprécié de partager à quatre les joies, les émotions de ce retour au pays. Nous avons eu le privilège de profiter du grand talent de Robert et des autres conférenciers de l’Adriana ; le plaisir de goûter une cuisine délicieuse (chorba, couscous différents selon les régions, mais aussi des mets inconnus de nous tels que chahchouha, bardja, sans parler des pâtisseries…) ; la joie de savourer la qualité de la vie à bord : prévenance de l’équipage, animation, concerts et soirées dansantes… agrémentées par le tangage et le roulis !

Notre seul vrai regret fut de ne pas avoir auprès de nous nos anciennes compagnes … même si elles étaient dans nos cœurs et nos pensées.

En conclusion, cette belle phrase de Camus : « Après tout, la meilleure façon de parler de ce qu'on aime est d'en parler légèrement. En ce qui concerne l'Algérie, j'ai toujours peur d'appuyer sur cette corde intérieure qui lui correspond en moi et dont je connais le chant aveugle et grave. Mais je puis bien dire au moins qu'elle est ma vraie patrie et qu'en n'importe quel lieu du monde, je reconnais ses fils et mes frères à ce rire d'amitié qui me prend devant eux » (L’été, « Petit guide pour des villes sans passé »).

 

 ____________________________________________________________________________________________

 

 

-2008 : L’Ombrie.

 

- Organisé comme d’habitude par « Arts et Vie » en liaison avec Maryvonne Payan Creff, notre voyage en Ombrie s’est déroulé de la façon suivante :

 

1 er Jour: Paris/Rome/Orvieto/ Assise

Mercredi 1 er octobre

Envol pour Rome selon les horaires mentionnés sur la convocation. À l'arrivée, route pour Orvieto juchée sur son rocher de tuf et visite guidée du Duomo, sans doute la plus belle cathédrale gothique d'Ombrie (exceptionnelle façade historiée aux mosaïques polychromes, chapelle San Brizio avec fresques de Signorelli, Gozzoli et Fra Angelico). Continuation pour Assise et installation à l'hôtel dei Priori situé au centre d'Assise pour 6 nuits.

 

2e jour: Assise/excursion à Spello/Montefalco

Jeudi 2 octobre

Visite guidée de la basilique de Saint-François constituée de 2 églises superposées. Découverte de la basilique supérieure avec l'abside et le transept décorés de fresques signées par Cimabue e1' ­son école. Puis la basilique inférieure où se trouve le tombeau de Saint-François. L'après-midi, découverte du petit village de Spello : l'église de Sainte-Marie-Majeure avec la chapelle Baglioni (fresques de Pinturicchio), la place de la République avec le palais communal, et le monastère de Vallegoria (beau panorama sur toute la région). Puis au surprenant village perché de Montefalco, visite du musée San Francesco avec les fresques de GozzoIi. Retour à Assise.

 

3e jour: Assise/excursion à Pérouse

Vendredi 3 octobre

À Pérouse, capitale de l'Ombrie, visite de la place du 4 novembre: la cathédrale San Lorenzo, la fontaine de Pisano, le palais des Prieurs et sa salle des Notaires. Puis sur le corso Vannucci, visite du collège des changes (fresques du Pérugin). L'après-midi, découverte de la ville souterraine de Pérouse sous la houlette de votre accompagnateur. Retour à Assise.

 

4e jour: Assise

Samedi 4 octobre

Journée libre pour profiter des manifestations de la fête de Saint François tels que messe à la basilique, montée à l'Eremo delle Carceri... ou découvrir la ville (église Santa Chiara, cathédrale San Rufino...).

 

5e jour: Assise/excursion à Spoleto et Marmore Dimanche 5 octobre

Visite guidée du centre historique de Spoleto : la cathédrale avec ses fresques de Filippo Lippi et son grand campanile, théâtre romain, l'Arco di Druso, place du marché, pont delle Torri, forteresse. Poursuite vers le sud pour découvrir la cascata delle Marmore créée à l'époque romaine pour canaliser les eaux du Velino et éviter les inondations de la région. Retour à Assise.

 

6e jour: Assise/excursion à Gubbio et Frasassi

Lundi 6 octobre

Visite de Gubbio, ville médiévale aux rues pittoresques: Palazzo dei Consoli (visite de la pinacothèque), cathédrale, via dei Consoli, via Baldassini... Puis départ vers les grottes de Frasassi aux merveilleuses sculptures naturelles. Retour à Assise.

 

7e jour: Assise/Todi/Rome/Paris

Mardi 7 octobre

Dans la matinée, départ vers Rome avec étape à Todi (découverte et déjeuner libres) avant de rejoindre l'aéroport. Envol pour Paris selon les horaires mentionnés sur la convocation.

 

 

Voici une photo du groupe des participants à ce voyage …

 

...qui ont le bonheur de compter parmi eux Sœur Marie Zulian.

 

Ce voyage s’est, comme les précédents, parfaitement déroulé sous la conduite de

notre ami accompagnateur Robert Lesne, et le seul regret que nous ayons, c’est

l’interdiction de filmer ou de photographier à l’intérieur des églises, qui nous

prive du plaisir de vous montrer toutes les merveilles que nous y avons admirées.

 

C’est le cas, à la Basilique de St François d’Assise, des fresques de Cimabue et

de son école, de Giotto et de ses élèves, qui illustrent les récits de l’Ancien et du

Nouveau  Testament, et les scènes de la vie de St François, de St Nicolas, de Ste

Marie Madeleine, de l’enfance du Christ ; et aussi de celles de Simone Martini,

de Pietro Lorenzetti, et du « Maître de Saint François ».

 

La Basilique St François : à gauche, le choeur de l’église inférieure ; à droite, la nef de l’église supérieure.

 

 C’est aussi le cas, à la Cathédrale d’Orvieto, des fresques de Fra Angelico, et

surtout de celles de Signorelli, dans la chapelle San Brizio, parfaitement

 restaurées au point de paraître encore fraîches. En voici un exemple.

 

Signorelli (Luca), les Damnés

L'art de Luca Signorelli déploya toute sa verve dans les fresques de la chapelle San Brizio de la cathédrale d'Orvieto, exécutées suivant l'exemple de la chapelle Strozzi de l'église Santa Maria Novella de Florence. La scène, peuplée d'une multitude de personnages dotés de postures particulièrement expressives, est caractérisée par une composition frénétique et une profusion de détails.

Luca Signorelli, les Damnés, 1499-1504. Fresque, largeur totale : 670 cm. Chapelle de San Brizio, cathédrale d'Orvieto (Ombrie, Italie).

 

 

Les photos et films étaient également interdits pendant la visite « spéléologique » des

grottes de Frasassi, où nous avons été émerveillés par la splendeur des œuvres naturelles

 d’architecture et de sculpture, au moins égale à celle de nos plus belles cathédrales. Voici

quelques images provenant du Site Internet des Grottes de Frasassi.

 

 

 

 

La période du voyage a été choisie pour nous permettre de participer aux manifestations

particulièrement fastueuses de la fête de Saint François d’Assise, Saint Patron de l’Italie,

et marquées chacune par la présence et le défilé des délégations de toutes les provinces d’

Italie, portant costumes traditionnels, oriflammes et bannières. Nous avons assisté

sur place :-le 3 octobre au soir à la cérémonie de commémoration du « transito di San

Francesco », en la basilique de Sainte Marie des Anges construite autour de la petite

Eglise de la Portioncule (où St François et ses religieux se retrouvaient à leurs retours

de voyages et après leurs péripéties apostoliques, où également St François est mort)

-le 4 octobre à 9 h, à la messe solennelle concélébrée en la Basilique

St François, qui a été diffusée en direct par la télévision italienne Raiuno.

 

Ce voyage s’est terminé par une entrevue avec Sœur Reine Marie, qui est venue nous

rejoindre à l’aéroport de Rome, une heure avant l’embarquement sur le vol pour Paris.

 

Ce beau voyage est illustré par un diaporama que vous pouvez voir

en petit format dans l’écran Vidéo ci-dessous, ou bien, en cliquant

sous cet écran Vidéo sur le lien « diaporama pleine page », en

grand format dans une nouvelle fenêtre, qu’il suffit ensuite de

fermer pour revenir automatiquement à cette page-ci.

AU REVOIR ET A BIENTÔT POUR LE PROCHAIN VOYAGE.

 

 

             ACCUEIL                                                                               SUITE

 

 

By www.comboost.com - Diaporama pleine page - Visiter les albums